On part découvrir la ville le soir. Un resto local pour commencer, connu pour ses dumplings (raviolis chinois). Si on aime les plats végétariens -et c’est mon cas-, c’est délicieux.


On poursuit par une ballade dans Xi’an pour digérer ; quand on mange comme moi, le repas est conséquent. La partie sud de la ville est moderne et illuminée de toute part.


On arrive ensuite dans le cœur de la ville. La porte sud est vivante, forte de son marché, de ses artisans et de ses saltimbanques, ou encore de son bal de nuit. Les chinois y viennent pour prendre du bon temps, les étrangers pour prendre des photos.


Nous continuons dans le centre de la ville. Rien de particulier. Une halte dans une sorte de jazz bar permet de rassasier les deux viandards qui m’accompagnent. Smoothie et banana split, pas très explorateur tout ça… mais bon ! C’est bien pour des jeunes comme nous de découvrir le luxe aussi.


Arrivée dans le cœur de Xi’an, la tours de la Cloche nous accueille de toute sa splendeur. Non loin se trouve la tour du Tambour, puis le quartier musulman. La rue principale y est très animée, mais sombre : il n’y a aucun éclairage public. Etrange. On reviendra dans la journée.


A première vue, Xi’an semble être une ville vivante et magnifique, plus propre et plus calme que Beijing. Chose surprenante, les chinois ne semblent pas surpris de notre présence, c’est limite si nous passons inaperçus.

Le premier soir, le retour en taxi s’est déroulé sans accros ! On est tombé le lendemain sur 2 fous du volant, façon Aldo Maccione dans L’aventure c’est l’aventure. J’étais écroulé de rire tellement ils étaient ridicules.