18 août 2007
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Après être allés plusieurs fois au coréen, nous avons voulu tester le japonais : 4 restos différents, 4 cuisines différentes.
Le premier resto qu'on s'est fait était identique au coréen, quoique plus classe.

L'accompagnement, cette fois-ci, c'étaient des épis de maïs cuits sur le grill et une purée de patates froide servie en crudité : j'ai adoré ! La viande, tendre, était cuite avec des oignons pour donner du goût et trempée dans une sauce au soja. Bref, un repas du feu de Dieu.

Nous mangeons tous les jours au resto (un repas coûte moins cher qu'un resto universitaire français...), alors on a chacun nos petites habitudes. Nel a un petit appétit et "fait une pause" au milieu du repas. Quand il dit ça, on sait pertinemment qu'il ne touchera plus à ses baguettes. Offrez-lui tout de même de la pastèque en dessert et vous obtiendrez un Nel heureux.
Pierre, lui, est plus difficile : il n'aime ni les légumes, ni les fruits de mer. En revanche, lorsqu'il se retrouve au coréen, LE mangeur de viande se réveille et engloutit tout ce qui passe. Même moi, je n'arrive pas à le suivre...
On s'est retrouvé dans un endroit un peu plus traditionnel, un mélange entre resto et fast-food. A l'ancienne, on était alignés sur une table, face au mur.

Comme Naruto et Yu-Gi-Oh, nous avons mangé des ramens (soupe de pâtes servie avec de la viande, des champignons et des oeufs), des beignets de crevettes fourrés au fromage (un délice) et bu du jus de mangue.

Pour la première fois, la barrière de la langue m'a été profitable. Une serveuse amène une salade de crudité et me baragouine un chinois que je ne comprends pas. L'assiette ne ressemble pas à celle que j'avais commandé en regardant la photo dans le menu, pas grave, je la prends quand même. Peu après, une autre amène une seconde salade qui, cette fois-ci, était comme sur la photo : je la prends aussi pardi ! Oui, une personne a payée pour toutes ces fois où j'en ai chié, et alors ? Ce n'est que justice...
Le voici le resto que je cherchais depuis si longtemps. Depuis que Gildał m'a fait découvrir à Varso, je suis accro ! Il me faudrait des doses hebdomadaires pour survivre... Hé ! J'ai arrêté de fumer, alors je peux bien me faire plaisir, non ?
J'explique pour ceux qui ne connaissent pas. Tout le monde s'assoit autour d'une longue table sur laquelle circule des assiettes sur un tapis roulant (ce sont parfois des bateaux qui naviguent sur une petite rivière). Ces assiettes, préparées en continu par le cuisto, contiennent des sushis (boulettes de poisson cru et de riz) et des makis (sushis enrobés d'une algue).

Tu te sers quand tu veux et autant de fois que tu veux, on comptabilise ton score à la fin du repas. Les différentes couleurs des assiettes correspondent chacune à un prix.
Mon trophée
Nous sommes allés il n'y a pas si longtemps que ça dans un "Fashion Restaurant" (c'était son nom). Non, il n'y avait pas de serveurs efféminés en t-shirt rose qui zozotent. Le nom devait sûrement s'appliquer aux plats proposés.
La carte nous a beaucoup fait penser à un resto japonais "moderne". Nous avons mangé des sushis et des makis chauds, cuits à la vapeur. C'est excellent ! Nous avons aussi goûté à une mixture faite à base de riz, de légumes et de tous petits moceaux de viande, la tout accompagné d'un oeuf sur le plat. Ce genre de plat était aussi proposé dans le second resto.
1 - A la coréenne

L'accompagnement, cette fois-ci, c'étaient des épis de maïs cuits sur le grill et une purée de patates froide servie en crudité : j'ai adoré ! La viande, tendre, était cuite avec des oignons pour donner du goût et trempée dans une sauce au soja. Bref, un repas du feu de Dieu.

Nous mangeons tous les jours au resto (un repas coûte moins cher qu'un resto universitaire français...), alors on a chacun nos petites habitudes. Nel a un petit appétit et "fait une pause" au milieu du repas. Quand il dit ça, on sait pertinemment qu'il ne touchera plus à ses baguettes. Offrez-lui tout de même de la pastèque en dessert et vous obtiendrez un Nel heureux.
Pierre, lui, est plus difficile : il n'aime ni les légumes, ni les fruits de mer. En revanche, lorsqu'il se retrouve au coréen, LE mangeur de viande se réveille et engloutit tout ce qui passe. Même moi, je n'arrive pas à le suivre...
2 - Comme dans les mangas

Comme Naruto et Yu-Gi-Oh, nous avons mangé des ramens (soupe de pâtes servie avec de la viande, des champignons et des oeufs), des beignets de crevettes fourrés au fromage (un délice) et bu du jus de mangue.

Pour la première fois, la barrière de la langue m'a été profitable. Une serveuse amène une salade de crudité et me baragouine un chinois que je ne comprends pas. L'assiette ne ressemble pas à celle que j'avais commandé en regardant la photo dans le menu, pas grave, je la prends quand même. Peu après, une autre amène une seconde salade qui, cette fois-ci, était comme sur la photo : je la prends aussi pardi ! Oui, une personne a payée pour toutes ces fois où j'en ai chié, et alors ? Ce n'est que justice...
3 - Sushi bar
J'explique pour ceux qui ne connaissent pas. Tout le monde s'assoit autour d'une longue table sur laquelle circule des assiettes sur un tapis roulant (ce sont parfois des bateaux qui naviguent sur une petite rivière). Ces assiettes, préparées en continu par le cuisto, contiennent des sushis (boulettes de poisson cru et de riz) et des makis (sushis enrobés d'une algue).

Tu te sers quand tu veux et autant de fois que tu veux, on comptabilise ton score à la fin du repas. Les différentes couleurs des assiettes correspondent chacune à un prix.

4 - Bonus
La carte nous a beaucoup fait penser à un resto japonais "moderne". Nous avons mangé des sushis et des makis chauds, cuits à la vapeur. C'est excellent ! Nous avons aussi goûté à une mixture faite à base de riz, de légumes et de tous petits moceaux de viande, la tout accompagné d'un oeuf sur le plat. Ce genre de plat était aussi proposé dans le second resto.